6 juillet 2012

Cela commence par une rencontre à Paris lors d'une soirée.
 A Paris, Eric Maria, un musicien, rencontre Izumi, une infirmière japonaise atteinte du cancer.
Il décide de la rejoindre au Japon pour apaiser ses souffrances avec son violoncelle.
Un réalisateur japonais, Masayasu Eguchi, vivant en France depuis plus de 20 ans, leur propose de les filmer.

Ce film GOENDAMA passera ensuite en salle au Japon; il est classé parmi les dix meilleurs documentaires en 2008. Pendant plusieurs années il est invité dans différents lieux du Japon et de la France, salles municipales, écoles, hopitaux, à projeter son film puis à discuter avec le public. go-en en japonais, est un terme qui recouvre les notions de destin et de liens qui unissent les gens

Touché par cette notion de lien, et les émotions qui découlent de ce film, à Oïta , la ville (au sud du Japon) où vécu Izumi, un spectateur pense que ce film mérite d'être vu à Fukushima.

Le film et son réalisateur sont alors invités à Fukushima.
En découlent des rencontres, des échanges .
Masayasu est mené alors dans les lieux dévastés. Les gens veulent témoigner.
On vous dit de partir. Depuis des générations votre famille est installée sur ces terres, vos racines sont là depuis des siècles...
Artisans, éleveurs, pêcheurs, céramiste...
C'est encore l'hiver là bas. Il neige . A Hanamiyama, le paradis des cerisiers, les arbres n'ont pas encore fleuri.
On veut croire en la vie, le printemps arrive.
Le film est réalisé. Il ne reste plus qu'à le monter.

Nous sommes en recherche de financement.
Nous avons trouvé cette formule "Tous coprod" où chacun peut créer un compte sur le site et participer à hauteur de ses moyens dès 1 euros .
Vous pouvez coproduire ce film et contribuer ainsi à témoigner de ce que vivent les gens là bas.
Merci de faire circuler l'info car seul le nombre peut garantir le succès!